The Partnership between Morocco and the European Union: Issues and Perspectives

Adil BELHAJ : le partenariat entre le Maroc et l’Union Européenne : Enjeux et Perspectives, Faculté des sciences juridiques économiques et sociales, Université Sidi Mohamed Ben Abdellah  Fés, Octobre 2016.

    Le partenariat entre le Maroc et l’Union européenne est considéré donc comme une composante essentielle pour le développement de la coopération entre les deux côtés dans tous les domaines et secteurs, cette coopération qui revienne à l’année 1996, date à laquelle le Maroc signé avec l’Union européenne un accord d’association qui regroupe le dialogue politique et sécuritaire, la coopération économique et financière, et le partenariat social, culturel et environnemental. De ce fait, et avec cet accord d’association, le Maroc avait développé leurs infrastructures de base, renouveler son arsenal institutionnel, accroître le niveau de la démocratisation des institutions politiques, développer l’accessibilité des citoyens aux services de base ; « santé, habitat, éducation et à l’emploi », ainsi que de renforcer le tissu économique et industriel afin d’améliorer la coopération économique et commerciale entre les deux côtés, et de conserver les intérêts des deux partenaires avec le maintien de la sécurité et de la stabilité.

  Abstract :

    The partnership between Morocco and the European Union is therefore considered as an essential component for the development of cooperation between the two sides in all fields and sectors, this cooperation which goes back to the year 1996, when Morocco signed with the European Union an association agreement which brings together political and security dialogue, economic and financial cooperation, and social, cultural and environmental partnership. As a result, and with this association agreement, Morocco had developed their basic infrastructure, renewing its institutional arsenal, increasing the level of democratization of political institutions, developing citizens’ accessibility to basic services; “Health, housing, education and employment”, as well as to strengthen the economic and industrial fabric in order to improve economic and trade cooperation between the two sides, and to preserve the interests of the two partners with the maintenance of security and stability.

    Ce partenariat entre le Maroc et l’Union européenne caractérisait par l’existence d’une divergence dans le cadre des enjeux et des objectifs de cette coopération, puisque le Maroc cherche à développer leurs infrastructures de base et a progresser la situation sociale et culturelle des citoyens. Par contre l’Union européenne, qui veille à conserver leurs intérêts stratégiques par le renforcement de la coopération sécuritaire avec le Maroc pour lutter contre les fléaux de l’immigration illégale, du terrorisme et du trafic de drogue.

    Par ailleurs, la coopération du Maroc avec l’Union européenne, ne constituait pas seulement un accord d’association qui vise à la promotion des échanges commerciaux et financiers entre les deux partenaires, mais elle représente un projet ambitieux, et qui peut développer les relations d’une manière générale, entre les pays de l’Union européenne avec tous les pays de la méditerranée, et qui englobe la coopération dans tous les domaines.

      A cet égard, cette coopération comportait le développement du dialogue politique et institutionnel, aussi bien le renforcement de la coopération économique et financière, et dans ce cadre les deux parties ont été convenu sur la création d’une zone de libre échange pour objectif d’améliorer le taux des échanges commerciaux et des investissements, ainsi que d’octroyer aux investisseurs des avantages pour l’encouragement de l’investissement et qui participe donc à la création de l’emploi et de la richesse.

     A cela s’ajoute, le domaine social, culturel et environnemental qui occupait une place importante dans le cadre de la coopération du Maroc avec l’Union européenne, et cela dans le but de développer la situation sociale de la population, d’accroitre leurs niveaux culturels, et de conserver et protéger leurs environnement.

     Donc, ce sont des axes principaux du partenariat entre le Maroc et l’Union européenne, et qui ont un impact sur la croissance mutuelle des deux côtés

     En effet, les liens de la coopération euro-marocaine étaient consacrés à la mise en œuvre de la démocratie et des droits de l’homme, le renforcement de la sécurité et de la stabilité avec « la lutte contre l’immigration illégale, le trafic de drogue et le terrorisme », ce dernier peut engendrer des effets néfastes sur les intérêts stratégiques des deux côtés, notamment sur celles de l’Union européenne,  c’est la raison pour laquelle l’Union européenne a insisté beaucoup sur la progression de la sécurité et de la démocratie comme des enjeux stratégiques du partenariat avec Le Maroc.

     Dans le même ordre d’idées, le Maroc souhaiterait découvrir des opportunités de la croissance économique et sociale dans le cadre de son partenariat avec l’Union européenne, puisque le Maroc connait des insuffisances au niveau des infrastructures de base, et au niveau des investissements et de la création des entreprises, ces dernières qui participent à la progression de l’économie nationale, et aider à créer des emplois, et donc à lutter contre les inégalités sociales « chômage, pauvreté, exclusion et précarité sociale », aussi bien d’approfondir l’accessibilité des citoyens aux services nécessaires comme l’éducation, la santé, l’habitat salubre et accroître le taux d’emploi, cela constitue automatiquement une économie solide capable de répondre aux exigences de tous les citoyens, et permettre aussi bien à augmenter la compétitivité de l’économie marocaine sur la scène internationale.

     D’après, l’évaluation des éléments d’interdépendance et d’interaction entre le Maroc d’une part, et de l’Union Européenne d’une autre part, on a constaté qu’il y’avait des points de convergence et d’autres points de divergences, lesquels on a trouvé que les questions d’ordre sécuritaire sont prioritaires pour l’Union européenne, ainsi que les occupations du Maroc sont d’origine économique et sociale.  Pourtant, il y’avait des intérêts communs qui les appuient à développer leurs liens de partenariat, de développer leurs opportunités de développement dans tous les secteurs.

     Néanmoins, les liens de la coopération entre le Maroc et l’union européenne étaient perturbés à cause de l’existence des entraves d’ordre sécuritaire « immigration illégale et terrorisme », et d’autres obstacles d’origine institutionnel et politique, et qui se manifestent dans la divergence institutionnelle et politique, et cela s’effectue dans le cadre de l’élargissement de l’Union européenne sur les pays de l’Est, et qui a laissé certainement des effets sur la coopération avec le Maroc.

     Aussi bien, cette coopération était l’objet des bouleversements dans le cadre de la coopération sociale et culturelle, et qui se manifeste dans l’insuffisance des réformes sociales et structurelles : « augmentation du taux de chômage, expansion de la pauvreté, et de l’exclusion sociale.. .», ainsi que dans la faiblesse des échanges culturels qui se présente dans le recul des liens de la coopération culturelle et scientifique, et dans la dégradation de la situation de la recherche scientifique et technologique.

     Ainsi, parmi les défis soulevés dans le cadre de la coopération entre le Maroc et l’Union européenne, ce sont les obstacles économiques et financiers, et qui se révèlent dans la dégradation du taux des exportations et des investissements européens au Maroc, et dans l’échec du programme MEDA du soutien financier au développement, ce dernier qui représente un instrument financier très important pour la mise en œuvre de plusieurs chantiers de développement économique et social.

    Alors, ce sont les entraves et les obstacles qui constituent un blocage pour le partenariat entre le Maroc d’un côté, et l’Union européenne d’un autre côté, et qui retardent tout un développement de la coopération entre les deux parties dans tous les domaines.

    Dans l’analyse de cette recherche, on a montré que le partenariat entre le Maroc et l’Union européenne dispose plusieurs opportunités et perspectives pour la mise en œuvre de cette coopération, lesquels le Maroc et l’Union européenne sont attachés par plusieurs programmes dont il’ ya le projet de l’Union pour la méditerranée lancée en juillet 2008, et qui constitue une opportunité majeure pour le développement de toute la région méditerranéenne, et du Maroc en particulier.

     Dans ce même sens, un autre projet qui se considère comme un enjeu nécessaire de développement du partenariat entre les deux côtés, ainsi qu’il représente l’engagement réel du Maroc dans la concrétisation des réformes nécessaires dans les domaines politique, sécuritaire, économique, financier, culturel et environnemental. Et cela octroyé une dynamisation de la coopération euro-marocaine. Donc, c’est le statut avancé octroyé au Maroc en octobre 2008, et qui est considérés comme une fouille de route pour l’amélioration du degré des échanges commerciaux et financiers, le renforcement de la coopération politique et sécuritaire, et la croissance de la coopération sociale, culturelle et environnementale.

    Dans l’objectif du renforcement des liens avec son environnement régional, le Maroc conclu en partenariat avec les pays Maghrébins, une initiative de l’Union du Maghreb Arabe en 1989 à Marrakech, et cela reste pour but d’approfondir les liens de la coopération intra-maghrébine dans tous les domaines de la coopération, et de renforcer l’intégration économique régionale pour faire face aux défis existants sur le plan régional et international, comme « l’immigration illégale, le terrorisme, le sous développement, la question des frontières, la dégradation des échanges commerciaux et des investissements, .. ».

      A travers ces indices, on pourrait dire que l’intégration maghrébine était une nécessité majeure dans l’objectif d’approfondir les liens de la coopération, politique économique et sociale, et cela avec l’ouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie, et la résolution de l’affaire du Sahara sur le plan politique , aussi bien d’accroître les relations économiques avec la progression du taux des investissements et des échanges commerciaux, et de développer la coopération dans le volet social afin d’améliorer la situation des citoyens et de répondre à leurs besoins en matière d’emploi, de santé, de l’éducation et d’habitat salubre.

     L’objectif principal de cette coopération était de construire une économie maghrébine solide et compétitive sur la scène internationale et notamment dans le cadre des relations avec les partenaires stratégiques comme l’Union européenne.

 Selon, l’analyse de cette coopération qui regroupe le Maroc avec l’Union européenne, on a détecté les éléments suivants :

  • Le rapprochement institutionnel et politique,
  • Le renforcement de la sécurité et de la stabilité ;
  • La croissance économique et financière,
  • Le développement social, culturel et environnemental.

      Ce sont alors, les indicateurs sur lesquels instaurés la coopération euro-marocaine, et constitués donc, les objectifs principaux pour l’amélioration des contacts et des liens entre les deux partenaires. En effet, ce rapprochement politique et institutionnel entre les deux partenaires, veillent à résoudre plusieurs problèmes et obstacles, comme la problématique de la démocratie et des droits de l’homme et l’établissement des institutions politiques démocratiques, aussi bien, la mise en œuvre d’une stratégie qui vise à renforcer la sécurité des frontières « lutte contre l’immigration illégale, le terrorisme, et le trafic de drogue ».

     Cela afin de concrétiser la sécurité et la stabilité, et le maintien des intérêts stratégiques des pays de l’Union européenne et du Maroc, et de permettre ainsi à renforcer la paix et la stabilité au sein du territoire de l’Union européenne.

    A cela s’ajoute, la croissance économique et financière, qui s’est considéraient comme des piliers fondamentaux de développement de cette coopération entre le Maroc et l’Union européenne, puisque le développement des échanges commerciaux et des investissements participent d’une manière directe à l’amélioration des conditions économiques et sociales de la population.

    A cet effet, le développement social et culturel occupé une place très importante dans le cadre du partenariat avec l’UE, et que l’évolution de la situation sociale des citoyens est une priorité majeure pour le Maroc ; « l’emploi, la santé, l’éducation et l’habitat salubre », et de lutter contre la pauvreté, le chômage et à la précarité sociale. Aussi bien, la culture était nécessaire pour la mise en œuvre des échanges culturels, scientifiques et technologiques.

     D’une manière générale, la coopération entre le Maroc et l’Union européenne était constructive et bénéfique, dans l’objectif où elle permettre à octroyer des avantages pour les deux parties dans tous les domaines de la coopération, citant la démocratisation des institutions politiques, le développement de la culture des droits de l’homme et le renforcement de l’Etat de droit, la promotion des relations économiques avec la progression des échanges commerciaux et des investissements, et la création d’une zone de libre échange pour bénéficier des avantages octroyés aux importations et aux exportations des deux côtés.

    Ainsi, le développement social occupait une place primordiale dans cette coopération, cette dernière vise à accroître le niveau de vie de la population et la satisfaction des exigences des citoyens dans le but de réaliser leurs ambitions.

     Donc, On peut dire que le partenariat entre le Maroc et l’union européenne a répondu à plusieurs exigences des deux parties, et que ce partenariat était développé avec le temps débutant par la signature d’un accord d’association en 1996 entre les deux parties, passant par la politique européenne de voisinage en 2002, et qui s’est articulée sur le renforcement de la sécurité dans toute la région méditerranéenne, dont il y a le Maroc, arrivant au statut avancé qui s’est considéré par l’Union européenne, comme le résultat des efforts accomplis par les autorités marocaines dans le cadre de la concrétisation des réformes politiques, économiques et sociales, et actuellement le Maroc est arrivé au statut de partenaire pour la démocratie.

     Alors, les efforts effectués par le Maroc pour la consolidation de son partenariat avec l’Union européenne, étant fructueux et constructifs. C’est la raison pour laquelle le Maroc a développé ces relations avec son partenaire stratégique l’Union européenne, et qui est considéré par les dirigeants de l’Union européenne comme le partenaire le plus avancé dans la région méditerranéenne dans la concrétisation de tous les engagements sur le plan politique, sécuritaire, ainsi que sur le plan économique, financier et social.

     Dans cette perspective, la coopération du Maroc avec l’Union européenne a connu une réussite dans le cadre de la réalisation des enjeux et des objectifs communs, cela montre l’intégration des deux parties dans la mise en œuvre des chantiers de développement politique et institutionnel, et de permettre à renforcer les liens du partenariat économique et commercial, aussi bien d’accroître les liens humains et sociaux culturels.

    Toutefois, le Maroc actuellement doit développer leurs relations de partenariat avec tous les pays du monde, et ne doit pas s’accrocher et se limiter dans sa coopération avec l’Union européenne, et cela revient à l’interdépendance des intérêts étatiques et à l’accroissement des exigences de la population au développement, et doit alors diversifier les contacts avec d’autres régions du monde, et notamment avec les pays d’Asie, de l’Amérique latine, les pays d’Afrique, et avec les Etas unis qui se considère actuellement comme la première puissance mondiale dans plusieurs domaines.

      Cela nous accompagnés à poser les questions suivantes :

  • Dans quelle mesure peut-on considérer que le partenariat euro-marocain sera dans l’avenir effectif et constructif ?
  • Est-ce que le Maroc capable de diversifier ses relations vers toutes les régions du monde ?

     Pour répondre à ces questions, le Maroc doit adopter une stratégie qui vise à multiplier ses relations vers tous les pays, et notamment avec les plus puissants comme les Etats-Unis, le japon, la chine et les pays du golf, sans oublier de renforcer les liens de la coopération avec le continent africain.

     La problématique traitée dans le sujet était «  dans quelle mesure le partenariat entre le Maroc et l’Union européenne constitue  un cadre propice pour le développement du Maroc d’une part, et pour la sécurité de l’Union européenne d’une autre part ? ».

   A travers l’analyse du sujet de la thèse, j’ai choisi la méthode systémique qui convient à la recherche et à l’analyse de différentes interactions  entre les deux partenaires dans tous les domaines pour arriver à réaliser leurs objectifs et leurs enjeux tracés dans le cadre de ce partenariat.

   A cet effet, j’ai divisé le sujet en deux parties : la première consacrée à la présentation des enjeux convergents et divergents des deux côtés et l’impact de ces enjeux sur la dynamique du partenariat, et j’ai commencé par la sécurité et la démocratie dans le premier chapitre, sans oublier de parler du développement économique, social et culturel dans le deuxième chapitre, et d’avoir l’interaction des deux côtés pour réaliser leurs objectifs.

   A cet égard, j’ai essayé de clarifier les enjeux principaux de chaque partenaire et l’impact de ces enjeux sur le renforcement des liens de la coopération entre eux même, c’est-à-dire que l’union européenne a mis l’accent sur la réalisation de la sécurité et de la stabilité de leurs intérêts stratégiques, et cela avec le maintien de la démocratie et des droits de l’homme en relation avec le pays partenaire, en contrepartie, j’ai précisé dans le deuxième chapitre que le Maroc cherche son développement économique dans ces relations avec son partenaire l’UE par la recherche d’une croissance des Investissements Directs Etrangers, la progression des échanges commerciaux, ainsi que la concrétisation du progrès social et culturel dans le cadre de ce partenariat.

  Donc, à travers cette première partie, j’ai essayé de préciser les différents enjeux souhaités par les deux parties, et cela sur le plan politique et sécuritaire, ainsi que sur le plan économique social et culturel.

   Pour la deuxième partie, j’ai passé à l’évaluation du partenariat du Maroc avec l’UE, et j’ai présenté au premier chapitre, les limites du partenariat, c’est-à-dire qu’elles sont les entraves et les obstacles du partenariat  Maroc / UE ? Lesquels il y’a des entraves d’ordre politique et sécuritaire, et d’autres d’origine économique, sociale et culturelle.

   Dans le deuxième chapitre, j’ai traité les opportunités et les perspectives du partenariat Maroc/UE, dans lequel, j’ai parlé de la convergence politique et économique du Maroc avec l’UE et qui s’est concrétisé par l’avancement du Maroc dans le processus du partenariat et la réalisation d’un statut avancé, qui se considère comme une reconnaissance des efforts accomplis par le Maroc dans tous les domaines de la coopération, et l’intégration aussi bien, dans le cadre de l’Union pour la Méditerranée, l’initiative qui vient pour renforcer et développer la coopération euro-méditerranéenne.

   Aussi bien, et dans le deuxième chapitre de cette partie, j’ai essayé de déterminer l’importance de l’intégration du Maroc dans son environnement régional (UMA) et de préciser en même temps, l’impact de cette ouverture sur ces relations avec l’UE, puisque cette intégration du Maroc dans son environnement régional va atteindre plusieurs objectifs, lesquels il y’a l’intégration économique d’un côté, et le renforcement des liens de la coopération politique, sociale et culturelle d’un autre côté, ce qui permettra à la construction d’une union maghrébine capable de lutter contre les défis sécuritaires d’une part, ainsi que de développer la coopération économique intra-maghrébine et d’arriver en fin de compte  à la progression des liens de la coopération avec les pays partenaires, notamment avec l’UE.

    A titre de conclusion, j’ai essayé de montrer l’évolution du partenariat du Maroc avec l’UE, débutant par l’accord d’association de 1996 qui considérée comme la première étape essentielle dans l’élaboration d’une coopération euro-marocaine, passant par la suite par la politique européenne de voisinage en 2002 qui vient pour renforcer la sécurité dans la région méditerranéenne, et l’adoption d’un plan d’action entre les deux parties en 2005 pour la mise en œuvre d’un plan de coopération approfondie entre le Maroc et l’UE dans tous les domaines de la coopération, et l’octroie au Maroc d’un statut avancé en octobre 2008, qui s’est considéré comme le résultat des réformes engagés par le Maroc dans tous les domaines de partenariat.

     Aussi bien, et dans le même sens,  j’ai essayé de préciser l’importance de la diversification des relations de partenariat avec les acteurs essentiels sur la scène internationale « ONG et Etats », et dans tous les domaines de la coopération, et notamment avec les pays les plus puissants comme : les Etats Unis, la chine, le japon, la Russie, les pays du golfe, ainsi que de renforcer la présence du Maroc sur le continent Africain, et cela dans les domaines d’ordre politique, économique, sociale, culturel et environnementale.